4.11.15

Transporter son appareil photo en voyage à velo

Ma solution à VTT.

Deja j'ai changé de matos.
Terminé le reflex, bonjour l'appareil hybride Fuji.
J'ai gagné 600g sur la balance, du coup je peux le loger dans un petit sac étanche que je porte sois sur le dos à la maniere d'un bike messenger ou sur le guidon lors des transition sur le bitume ou les longues montées peu cassantes.
j'ai de ce fait l'appareil toujours en accés rapide.







12.10.15

Venez donc au Grand bivouac ce weekend!

Je serai sur le stand Velocoop le 17 et 18 octobre prochain à Albertville.
C'est le Grand Bivouac, n'hésitez donc pas à passer me voir pour discuter voyages, bières ou autres.

30.8.15

L'Islande en VTT, y a quoi dans les sacoches?

Voici la liste de ce que j'avais embarqué avec moi.




Vêtements:

  • Un short de velo.
  • Deux cuissards.
  • 4 paires de chaussettes en laine de merino
  • Deux collants long en laine de merino
  • Deux t-shirt manche longue en laine de merino
  • Un boxer pour le soir
  • Une doudoune à capuche
  • Un bonnet
  • Deux paires de gants de VTT
  • Un polaire fine
  • Une paire de chaussette étanche


Pour la pluie et le vent :

  • Une veste goretex arcteryx.
  • Un pantalon de pluie Vaude.
  • Une paire de surchaussure Vaude.


Pour dormir :

  • Un matelas thermarest neo air
  • Un sac de couchage triple zero ansabere 400
  • Une tente Golite shangri la 5. C'est un tipi 4 personnes.


Pour cuisiner:

  • Un rechaud à bouteilles de gaz déportées Primus.
  • Une popote MSR inox (casserole, poêle, bouilloire).
  • Une spork titane.
  • Une tasse en inox.
  • Deux gourdes de 1200ml Klean Kanteen


Pour s'orienter:

  • Un gps sportiva + une batterie supplémentaire.
  • Les cartes d'Islande au 1/100000.


L'électronique:

  • Un smartphone.
  • Un panneau solaire Dracula technologie + batterie d'appoint.
  • Mon Fuji Xe2 et 5 batteries supplementaire.



7.8.15

L'Islande en Fat bike, le bon matos

Les trucs qui on bien fonctionné durant le périple.


Sur un court séjour comme celui ci, avoir une connexion internet pour se tenir au courant de la meteo à venir et pour surveiller l'ouverture des pistes était un bon choix.
On a pu gagner du temps, et prendre les bonnes decision plus rapidement.
J'ai juste acheté sur place une carte SIM avec le minimum de forfait 4G.



Autre point important, le comfort des pieds.
Je suis parti avec cette seule paire de chaussure de velo (en plus des crocs pour le bivouac).
Je cherchait une paire de chaussure comfortable acceptant des cales pour pedale auto et qui me permettrait de marcher sans problème , voir de randonner sur de petite distance.
je les ai gardé aux pieds pendant 11 jours, j'était vraiment bien dedans.
Elles vont tres bien pour pedaler bien sur, mais elles ne sont pas ridicule non plus pour marcher.





Question bouffe. J'avais emmené des plats lyophilisés et des barres de cereales aux noix.
C'était mes premiers lyophilisé, et c'est une bonne surprise, c'est pratique, c'est plutôt bon et c'est vite preparé, meme sous les rafale de vent.
On a fait la moitiés de nos repas avec (plutôt le midi du coup) et le soir on cuisinait normalement.
Quand aux barres aux noix, c'est presque une friandise tellement c'est bon!




Energie nomade. J'ai eu en pret un panneau solaire de 6W.
Etant donné qu'il y a beaucoup de lumiere en Islande à cette periode de l'année , il a été tres facile de recharger le GPS ou la petite batterie annexe.
Ciel degagé : la recharge de la batterie de 1100 mAh etait bouclé en 3 à 4 heures.
Soleil voilé : environ deux fois plus long que si le temps est degagé.
Ciel bouché de nuage : ca marche plus.




Les cartes papiers au 1/100000 . Meme si elles sont incompletes ou pas à jour, elles nous on permis de nous retrouver autant de des situations merdique que sur de beaux chemins.
Dans tout les cas, on à pu eviter le maximum de route grace à elles.



Mon Salsa Mukluk.
Genial!
Meme chargé, il passe partout.
Le confort et la largeur des pneus on fait merveille.
On a pu s'offrir des pistes sablonneuse pour chevaux sans risquer la galere, juste en dégonflant les pneus.
Et si il faut faire 20 kilometres de bitumes, il suffit de regonfler un peu plus les pneus puis redescendre en pression un fois sur les chemins.
C'est pour moi une revelation, je veux plus le quitter!



Il y a quand meme des defauts.
Le boitier de pédalier bas, permet certe une bonne stabilité, mais les pedales touchent souvent les pierres.
La largeur de l'engin peut poser problème dans certaines ornières particulièrement profondes comme celles creusés par les chevaux:





24.7.15

L'Islande en fat bike

ou comment être définitivement convaincu que le fat bike est un vélo parfait pour l'itinérance en tout terrain.

Bien, je vais tenter de faire un rapide compte-rendu des 10 jours passés à rouler en Islande.
Je vais surtout parler du voyage, je ferai un autre post plutôt orienté sur le matériel une autre fois.

L'Islande, ses paysages grandioses et sa météo très particulière.
Et question météo, je peux dire que dans un sens on a eu beaucoup de chance, il n'y a quasiment pas eu de pluie, juste une journée à rouler dans la tourmente glaciale.
De ce côté-là c'était cool, le problème venait plus d'un gros décallage dans les saisons, en effet l'été semble avoir du retard, beaucoup de retard. 3 semaines nous dit-on.

Résultat, tout le centre de l'île est fermé, les bus n'y vont pas, à cause du dégel, et certains endroit seraient encore enneigés.
C'est dommage car j'avais justement prévu de prendre le bus avec les vélos pour Hveravellir, et ensuite descendre sur le sud via les pistes et les trails de montagne.
Tant pis, on partira de Reykjavik à vélo, direction les highlands en espérant que ça ouvrira d'ici qu'on arrive.

Ci-dessous la carte du trajet:



Le centre n'ouvrira pas, j'ai beau vérifier chaque jour les sites d'infos, rien ne change.
Alors on est allés se rendre compte par nous-même ce que voulait dire "zone interdite à la circulation" : un mètre de neige à 600 m d'altitude, on a poussé les vélos sur plus de 6 kms en suivant la piste au GPS et en se repérant aux montagnes.




Quand ce n'est pas la neige, ce sont les rivières gonflées par la fonte qui sont impossibles à traverser sans prendre de risque trop importants.
Autre particularité de l'Islande : ses cartes incomplètes ou mal mises à jour.
Comme on voyage principalement hors des routes, on se retrouve souvent à jongler entre les itinéraires équestres et les pistes.
Parfois les chemins équestres disparaissent brutalement et on se retrouve à jardiner aux milieux des mottes herbeuses et des arbres miniatures pour boucler la trace, ou encore la piste débouche dans une nouvelle propriété privée sans possibilité de poursuivre la route (qui pourtant apparait sur les cartes et le GPS). Bref l'Islande c'est l'aventure (mais on est venus pour ça)  même sans traverser le fameux Sprengisandur.


On bouclera le périple avec 80% de chemins, puis comme il nous reste quelques jours on louera une voiture pour aller rouler dans d'autres endroits à la journée.
On a dormi un coup sur deux en bivouac ou en camping selon ce qu'on trouvait chaque jour.
On était autonome en nourriture (souvenez-vous, on devait faire le désert au départ).

Ca restera une super expérience car j'ai découvert de nouveaux endroits que je ne connaissais pas et même si j'ai une légère déception sur le fait de ne pas avoir pu réaliser le projet initial, j'aurai quand même pu tester dans de vraies conditions mon fatbike (j'en parlerai plus tard, mais c'est un vélo génial).

Quelques photos pour illustrer :



Bon, par où traverser?





Source d'eau chaude à l'horizon.


Le fat roule sans problème là dedans, mais par peur de déchirer un pneu bêtement on a préférer pousser .





D'autres photos sur mon compte flick'r : https://flic.kr/s/aHskgazD3o

8.6.15

Un frame bag zipperless ,comme on dit

Un nouveau sac pour Vincent et son ECR

Voici le troisième sac de cadre que je réalise pour Vincent.
Comme il a tendance à les user plutôt vite, je suis à chaque fois obligé d'aller plus loin dans la solidité du sac.
Dernièrement il a cassé le zip, et changer le zip c'est compliqué.

Comme il compte partir en voyage en Amérique du sud début septembre, j'ai décidé de lui refaire un nouveau sac, mais ce coup ci, sans le zip, et un peu plus renforcé.
Le chargement du sac se fait donc par le dessus et se referme par enroulage.
Je me suis clairement inspiré d'une marque américaine, que je trouve très dynamique dans le domaine du bike packing : porcelain rocket.












Le Surly ECR, presque prêt à partir.

11.5.15

Un petit tour dans les Bauges

Petit test du vélo et du matériel de bikepacking sur deux jours

J'ai récemment fait une sortie sur deux jours avec le Salsa Mukluk , histoire de tester le matériel (et le bonhomme en passant).

La neige au sommet du Semnoz a un peu freiné ma progression mais dans l'ensemble ce fut une bonne expérience.
Un point noir dans l'aventure : un très mauvais choix de sentier sur la fin de parcours, qui va me forcer à porter le vélo pendant de longues minutes sur un terrain très difficile et complètement inroulable.
c'est pour cela que je posterai pas la trace gps, j'ai pas envie d'envoyer d'autres vttiste se faire chier dans ce passage d'escalade de rochers.

Sommet du Semnoz, avec vue sur le Mont Blanc.

juste avant de redescendre sur Duingt, tout fatigué de la lutte avec les rochers qui vient de terminer.

Annecy-Lescheraine.
Lescheraine-Annecy via Duingt. (retour par la piste cyclable).

15.4.15

Le Salsa Mukluk pour l'Islande

Voila donc à quoi il ressemble.

presque un an après l'achat du cadre, je commence juste à rouler avec.
Ca roule mieux que je pensait, le tout avec un confort au top!
Par contre, pas de miracle, sans suspension dés que le terrain devient défoncé on ramasse tout dans les bras.
Du coup comme la saison est à la fonte des neige, j'en profite pour tester l'engin sur des parcours mixte chemin/ portions enneigées.

En monté sur la neige molle : il se passe rien, on patine.
En descente sur la neige molle (une legere pente suffit) : ca roule! , on s'enfonce pas trop, c'est assez marrant,un peu moins quand on pose le pied et qu'on s'enfonce jusqu'au mollet.
Neige dure : aucun problème ca passe.
Neige dure sur un terrain tout défoncé : c'est parfait, le vélo semble taillé pour les terrains merdique.

je vais continuer à tester le bidule, mais c'est positif, ça va faire un bon VTT de baroud je pense (de toute façon y a pas le choix).

quelques photos du module lunaire:


Version chargé avec le kit de base.


En mode allons aux champi.

Jante "étroite" donc.

Suis pas encore convaincu par la selle que j'ai installé, je lui laisse le temps de s'adapter.
Mais j'ai l'impression quelle est sensible à la température.
froid : c'est dur. Chaud c'est mieux... A suivre.


18.2.15

31.1.15

L'art d'être patient #2

Fat bike : assemblage des roues.

Voila, j'ai donc monté mes roues... pour un usage plutôt été qu'hiver.
Donc jantes de 50mm et pneus Knard.
Ca fera bien l'affaire.

Les jantes hiver, ce sera plus tard (le ski c'est bien aussi).









25.1.15

L'art d'être patient #1

Ou comment assembler un Fat bike en France en 2015

Ca fait quelques temps que je m'intéresse à l'actualité des fat bikes.

Une promo sur un kit cadre Salsa mukluk couleur or en juin 2014, une vague envie de me confronter aux pistes et trails Islandais à VTT et me voici en train de passer commande.
Puis j'ai laissé trainer le kit dans un coin pendant trois mois, le temps de réfléchir à son montage.
J'ai commencé par la suite à acheter les pièces spécifiques, à savoir:

  • Les jantes
  • Les moyeux
  • Le pédalier
  • Le boitier de pedalier
  • Les pneus



J'ai mis 2 mois pour avoir le lot de jantes et pneus (mais on peut faire plus simple et plus rapide maintenant)
Entre temps j'ai reçu mes moyeux.
Entre temps j'ai un recall sur la fourche du mukluk, et là c'est pas évident pour faire valoir ses droits dans un délai raisonnable depuis la France.
Puis tout arrive (sauf la fourche, car j'ai pas reçu la bonne).

Je peux quand même commencer l'assemblage!

Et tout commence avec les roues:
J'ai prévu un usage en bikepacking estival (pour commencer) je vais donc assembler des jantes "peu" large (des Rabbit Hole surly ) de 50mm sur des moyeux Hope et des pneus Surly Knard en 3,8" de large.

Me voila donc au stade 1 de montage.
L'assemblage des roues.



Premiere phase : les roues. la fourche noire et celle que j'ai reçu pour remplacer l'originale defectueuse. Sauf qu'il s'avère qu'elle n'est pas compatible...A suivre.

EDIT : yihaaaaa, j'ai reçu ma nouvelle fourche!

3.1.15

Kyoto à vélo.

Un petit tour dans le centre de Kyoto.

C'est une ville qui se visite facilement à vélo.
Voila un petit retour d'expérience: